Nos histoires LGBTQIA* - TPG sont constituées de luttes, d’espaces plus ou moins éphémères, de fêtes et de projets parfois spectaculaires. Les années 1990 et 2000 à Toulouse, sont riches d’initiatives et d’expériences multiples et variées, pour beaucoup, rarement transmises.
Parce que cette histoire, même si nous ne l’avons pas toujours vécue, est aussi la notre. Parce que nous avons besoin d’imaginaires, de transmissions de ces récits et de la force de ces expériences, nous avons voulu, (…)
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1990-1999
Articles
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Ni invisibles, ni oublié.e.s : à la recherche de nos histoires LGBTQIA*, TPG à Toulouse #1
12 octobre 2022, par Ni invisibles, Ni oublié·es -
Le Clandé 1996-2006. 10 ans d'occupation à Toulouse
28 décembre 2022, par Collectif de Radiographie UrbaineDans une grande maison bourgeoise à deux pas des boulevards une assemblée générale a tenue pendant 10 ans un lieu d’activité qui se voulait "un contre-pouvoir et une alternative pratique et durable, sans les impératifs de rentabilité, sans soumission aux pouvoirs publics qui subventionnent, aux entreprises qui exploitent, aux mécènes qui achètent". Une petite compilation de textes, de tracts, de programmes et de photos pour raconter quelques bribes des histoires qui se sont tramées dans ce (…)
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Marie Madeleine, habitante de la rue du Maroc
3 mars 2023, par Collectif de Radiographie UrbaineDepuis 1995, Marie Madeleine habite un logement social au 38 de la rue du Maroc, juste à l’angle de l’avenue de Lyon. Interrogée sur son expérience du quartier, elle décrit un quartier vivant et agréable qui se détériore peu à peu, l’abandon de ses propriétaires et le vide qui s’installe.
Ce témoignage a été recueilli par Agnès et Mélo en octobre 2019, en deux parties. Une première dans les locaux de la radio canalsud avec Mélissa à la technique, et une seconde en se déplaçant dans le (…) -
L'Ekole et le petit quartier Bourrassol
8 novembre 2022, par Collectif de Radiographie UrbaineÀ la fin des années 90, un coin de cité ouvrière de la Cartoucherie, un ancien CFA, des chemins vicinaux et un morceau de campagne en pleine ville. Des retraitées de l’usine, des voyageur·es plus ou moins sédentarisé·es, des stquateureuses plus ou moins nomades.
Habiter en squat c’est habiter dans une parenthèse de la ville. On occupe là où c’est possible entre deux usages. La "vacance", comme ils disent, c’est un moment de jachère du capital foncier. On laisse en friche pour valoriser (…)